Les cadeaux de Noël pour le bien de l'éducation...

Ben ouais, les cadeaux de Noël pour les maîtres et maîtresses de mes rejetons. Ceux qui se les coltinent toute la journée et posent les bases de leur éducation et de leur culturification.

Muahahahaha!

Nan, sans blague, jusqu'à présent, touche du bois, mes enfants ont toujours eu des maitres et maitresses super chouettes (faut mettre le maître avant la maîtresse ou le contraire???).

Donc faire un petit cadeau pour Noël, ça me fait toujours plaisir.

Et surtout, Mademoiselle Bazaar ne m'a pas loupée sur le coup là, elle s'y est pris à l'avance: des bouillottes sèches!!!! Mais en voilà une bonne idée qu'elle est bonne!!!! et qui va me prendre 3 siècles...

  

   

Donc en bonne poire, j'ai fait les bouillottes. Les 5 bouillottes. Nan, 6 en fait, parce qu'il y a aussi la maitresse d'arabe qui vient à la maison pour les cours en plus (je ne me lancerai pas sur le niveau de l'enseignement arabe de la mission française au Maroc puisque je ne parle pas arabe, mais parait que c'est bof bof on va dire).

Mademoiselle Bazaar: 1 maitre, 2 maitresses d'arabe. Monsieur Bazaar Junior: 1 maitresse, 1 assistance maternelle, 1 maitresse d'arabe. Ça fait 6 bouillottes. Purée ça fait long à faire 6 bouillottes le soir après le taf... 

    

Ça, c'est une photo prise quand j'avais fait ces bouillottes pour un défi 13... y'a... longtemps quoi... oui, je réutilise les mêmes tissus, car il faut du coton, et du solide, histoire de pas se retrouver avec une explosion de riz en plein milieu de la nuit... les grains de riz dans le slip à 4h du mat, c'est moyen non???

Le compte est bon.

Et tout à l'heure, une fois que j'ai eu fini, pfiouuu, ouf, pas trop tôt, j'ai cru que j'y arriverais jamais, Mademoiselle qui me dit avec ses petits yeux de cocker tout mignon: "et mes profs de danse?". Mouaiiiiiiiis.... Pi t'en veux pas une pour la voisine, la cousine du gardien de voiture, et la boulangère aussi non????

Bon, en tous cas, maintenant, me reste plus qu'à en faire une pour maman qui en a demandé une et qui s'est, comme qui dirait l'autre, fait avoir sur le coup.